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La FAO se mobilise contre les problèmes phytosanitaires

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La FAO réfléchit aux moyens de lutte contre les problèmes phytosanitaires.

Des experts internationaux se réunissent du 4 au 8 avril au siège de la FAO (Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture) pour réfléchir aux moyens de lutte contre les problèmes phytosanitaires affectant les fruits et légumes.

Du 4 au 8 avril, des experts internationaux se réunissent au siège de la FAO (Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture) dans le cadre la conférence annuelle de la Commission des mesures phytosanitaires (CMP). Cette conférence, organe directeur de la Convention internationale pour la protection des végétaux (IPPC), rassemble des spécialistes de la santé issus de 182 pays membres ainsi que d’autres organisations internationales et du secteur privé.

L’objectif de cette réunion est réfléchir aux meilleurs moyens d’empêcher les insectes, comme Drosophila suzukii ou la chrysomèle sur maïs, les bactéries telle que Xylella fastidiosa, les virus et les mauvaises herbes d’infester les fruits, légumes, ainsi que d’autres plantes et produits alimentaires vendus chaque jour à travers le monde. Il existe en effet, une multitude de menaces qui pèsent sur la santé des plantes et se répandent plus facilement du fait de la mondialisation, indique la FAO.

Cette année, la conférence de la CMP aura également pour objectif de trouver des solutions au problème croissant des parasites dans les conteneurs maritimes et de voir s’il est nécessaire de développer une norme internationale pour les mesures phytosanitaires afin de réduire ces risques.

La mission de la CMP est, entre autres, de réviser et d’établir des normes internationales pour les mesures phytosanitaires qui réglementeront la manière dont les plantes et les produits végétaux devront être manipulés lors des déplacements et transports. Cela inclut également les différents moyens d’aider les pays en développement à améliorer l’efficacité de leurs organisations de protection des végétaux.

 « Le thème choisi cette année, “La santé des plantes pour la sécurité alimentaire”, souligne le lien entre l’engagement de la communauté internationale pour éradiquer la faim d’ici à 2030 et le rôle essentiel des plantes dans l’alimentation humaine », ajoute la FAO, dans son communiqué.

Près de 1,1 milliard de dollars de produits agricoles font l’objet d’un commerce international chaque année, dont la nourriture qui représente plus de 80 % du total.

Les normes phytosanitaires sur le commerce des plantes et les produits végétaux sont réexaminées jusqu’à la fin de la semaine dans le cadre la conférence annuelle de la Commission des mesures phytosanitaires (CMP).

Parallèlement, la FAO estime qu’entre 20 et 40 % des rendements agricoles mondiaux sont en baisse chaque année à cause des dommages causés par les parasites et maladies des plantes. Nombreux sont ceux qui s’étendent au-delà des frontières avec la circulation des marchandises, qui trouvent de nouveaux habitats dans lesquels évoluer ou des environnements dans lesquels ils resteront couver en raison des effets du changement climatique. « Une fois que les parasites infestent une zone géographique et s’y établissent, il est presque impossible de les éradiquer et les gérer est très coûteux », souligne la FAO.

Crédit photo:DR

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Protection agroécologique des cultures

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Lecture: publication qui peut vous intéresser, la « Protection agroécologique des cultures ».

À partir d’une présentation des principes de l’agroécologie et de leur application à la protection des cultures, cet ouvrage analyse plusieurs expériences participatives réalisées en vraie grandeur, dans différents contextes. Il en tire des recommandations concrètes pour l’ensemble des systèmes de cultures tempérés et tropicaux, véritables clés de cette transition agroécologique recherchée.

Protection agroécologique des culturesComment concilier la protection des cultures vis-à-vis des ravageurs et des maladies avec la durabilité socioéconomique, écologique, environnementale et sanitaire des agroécosystèmes ? Face aux limites du système actuel, comment assurer la transition des techniques de lutte préconisées et établies par la protection intégrée des cultures, vers la protection agroécologique des cultures ou PAEC, cette méthodologie innovante de gestion des peuplements d’un agroécosystème ?

À partir d’une présentation des principes de l’agroécologie et de leur application à la protection des cultures, complétée d’une revue critique de l’évolution de celle-ci, cet ouvrage analyse plusieurs expériences participatives réalisées en vraie grandeur, dans différents contextes. Il en tire des recommandations concrètes pour l’ensemble des systèmes de cultures tempérés et tropicaux, véritables clés de cette transition agroécologique recherchée.

Les contributions des 56 auteurs, d’horizons variés, traduisent le besoin et les attentes de la communauté scientifique et agricole. Leur expérience dans la recherche, l’enseignement, la formation et le transfert en milieu producteur, ainsi que la rigueur de leur raisonnement scientifique, donnent à l’ouvrage sa profondeur et son originalité. Ils en font un support d’information actualisé pour les professionnels et d’enseignement pour les étudiants en agronomie, protection des cultures, gestion de la biodiversité ou agroécologie.

Source et crédit photo: CIRAD

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La BAM dresse un état des lieux plutôt optimiste de l’économie marocaine

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Agriculture: Element pivot de la croissance de l’économie marocaine.

Bank Al Maghrib (BAM) dresse un état des lieux plutôt optimiste de l’économie marocaine. Selon Abdelatif Jouahri, la croissance économique du Maroc est fortement dépendante de l’agriculture qui est liée  »aux conditions climatiques ». La croissance est pour ainsi dire  »volatile ».

Selon la Bank Al Maghrib,  »en dépit de la baisse de sa part dans le PIB à environ 11% en 2014 au lieu de 15% en 1998 ». L’agriculture  »continue de rythmer la croissance nationale »,  »sa part dans le volume d’emploi demeure, toutefois, importante ».

Le déficit budgétaire quant à lui  »poursuit son amélioration après le dérapage de 2012, une amélioration favorisée par le recul des cours des produits pétroliers, qui s’est traduit par une baisse sensible de la charge de compensation », qui rappelle la charge de compensation pour les produits énergétiques qui est passée de 54,9 milliards de dirhams en 2012 à 14 milliards en 2015, soit de 6,5% du PIB en 2012 et 1,4% en 2015.

L’endettement du Trésor, reste en hausse, passant de 45,4% du PIB en 2008 à 64 % en 2015.  »Un niveau élevé par rapport à la moyenne des pays ayant la même notation », selon la Bank Al Maghrib. L’encourt des réserves de change, continue de se renforcer, passant de  »4 mois d’importations en 2012 à 6 mois et 24 jours en 2015 et devrait continuer à s’améliorer à hauteur d’un mois de couverture additionnel par an », qui confirme, que  »la situation de la liquidité bancaire s’est nettement améliorée, passant d’un besoin de 40,6 milliards de dirhams en 2014 à 16,5 milliards en 2015 et devrait passer à une situation excédentaire à partir de cette année ».

Une reprise hypothétique en 2017 …

Mais, le rapport de la Banque centrale du Maroc prévoit une chute de la croissance en 2016, même si les grands indicateurs affichent de bons scores, dans un contexte marqué par la chute des prix du baril de pétrole et/ou la reprise des exportations.

Ainsi selon la Bank Al Maghrib, en 2016,  »l’activité économique devrait enregistrer un net ralentissement, avec une croissance autour de 1% », qu »’elle devrait reprendre pour avoisiner 3,9% en 2017 », mais sous la condition  »d’une récolte céréalière moyenne de 70 millions de quintaux ».

Cette souligne s’appuie sur le fait que  »cette forte décélération en 2016 reflète une baisse de 13,8% de la valeur ajoutée agricole, compte tenu d’une production céréalière estimée à 38 millions de quintaux » et  »la croissance non agricole devrait rester atone autour de 3% ».

Si l’inflation devrait se situer autour de 0,5% en 2016, impactée par  »l’affaiblissement de la demande intérieure et la faible inflation importée », en 2017, elle devrait augmenter à 1,4%.

Quant au déficit budgétaire, il devrait être ramené à 3,7% du PIB en 2016 et à 3,1% du PIB en 2017,  »favorisé par le niveau bas des prix du pétrole et les entrées des dons » et  »le déficit du compte courant va baisser à 0,1% du PIB en 2016 et à 0,3% en 2017 ».

Enfin, les réserves de change nettes devraient se renforcer, pour assurer la couverture de 7 mois et 21 jours d’importations en 2016 et 8 mois et 15 jours en 2017.

Crédit photo:DR

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Le prix de la courgette s’emballe sur les marchés espagnols, le Maroc visé

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La courgette fait exception sur les marchés espagnols, les prix s’emballent, notamment à cause de la production marocaine.

Dans les province d’Almeria, le prix des légumes reste au plus bas aux enchères et aux marchés de gros. Le concombre en est le parfait exemple. La courgette fait exception.

Le prix de la courgette s’emballe

La semaine dernière, les courgettes ont enregistrés les plus fortes hausses de prix. Le prix au kilo des grosses courgettes est passé de 2,3 à 5,1 dirhams. Et de 2,75 à 5,2 dirhams pour la petite variété.

Toutefois, le secteur n’est pas optimiste et il ne reste plus que cinq semaines avant que la saison de la courgette arrive à son terme. Ce manque d’optimisme souligne l’instabilité qui a marqué le développement de la saison : un petit excédent et une forte pression du produit originaire du Maroc.

Concombres, tomates … les prix restent stables

La saison néerlandaise est déjà en cours. Le prix des concombres en provenance de la province d’Almeria ou d’Hollande reste à 2,2 dirhams par kilo. Tandis que les concombres originaires de France ou d’Espagne, principalement destinés à la consommation domestique, tournent autour de 4 et 4,7 dirhams par kilo.

Le prix des tomates poires et Daniela tournent toujours autour de 7,70 dirhams. Tandis que les tomates en grappe n’atteignent pas les 5,5 dirhams. La production devrait être en baisse, en comparaison avec la saison Automne-Hiver 2015. Dans les semaines à venir, les prix pourraient ainsi soit augmenter soit rester stables.

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Il y a 15 ans les tomates étaient 2 fois plus chères en Espagne

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2002 fut l’année ou les tomates étaient les plus chères.

Il y a 15 ans, le prix d’origine moyen des tomates, en prenant en compte tous types de variétés, était à 124% plus élevé qu’aujourd’hui. 

En observant la période de Janvier à Mars, le prix moyen des tomates en 2002 affichait un coût de 13.31 dhs/kilo. A la même période en 2016, le montant s’établit à 5.94 dhs/kilo. Le prix moyen en 2002 avait atteint 11.22 dhs/kilo, tandis qu’en 2015 son montant était de 6.82 dhs/kilo. C’est en 2002 que les tomates étaient à 65% moins chères que l’année passé. Une considérable baisse est observée. Le prix moyen pour tous types de variétés de tomates a atteint 11.99 dhs. 85% de plus que la saison actuelle ce qui l’élève à 6.49 dhs/kilo.

2002 fut l’année qui affichait les prix les plus élevés. Pour un prix moyen de 11.22 dhs/kilo pour tout types de variétés de tomates en 2002.

Il y a 15 ans les tomates étaient 2 fois plus chères en Espagne

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Crise de la pomme de terre en Grèce

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La Grèce souffre de la baisse des prix de ses pommes de terre

Les producteurs grecs de pommes de terre peuvent produire tout au long de l’année grâce aux conditions climatiques très favorables du pays. Mais les producteurs souffrent de l’impact des revenus faibles suite à l’introduction de produits bons marchés en provenance des pays tiers. Ce qui implique la chute de la demande et induit des situations freinantes pour la Grèce.

Le Vice Président de la Coopérative Agricole de Kalamata, Giorgos Douvas, a discuté des pressions actuelles qu’encaisse le produit grecque. Des pressions qui sont devenues particulièrement intenses avec l’augmentation croissante des importations des pays tiers, tels que le Maroc, l’Egypte, la Tunisie, etc … . « Nous nous sommes entretenus avec les représentants du Ministère et certains progrès ont été réalisés en termes de production et de distribution intérieure. Les importations dérapent et font chuter les prix internes au plus bas. Un commercant à Athènes peut vendre 1 000 sacs de pommes de terre d’origine egyptienne, tandis qu’il nous est impossible d’allouer 5% de notre production ».

Cette « absence de demande » d’exigence qualité des produits agricoles nationaux, tels que les pommes de terre de Messinia, est la conséquence de la hausse des prix. Les commercants qui sont touchés par de graves problèmes de liquidités, préfèrent acheter des pommes de terre aux pays tiers car les fournisseurs sont moins chers et offrent des moyens de paiements plus pratiques. En ce qui concerne les consommateurs, ils ne sont pas toujours spécialisés dans la distinction des produits en provenance de Grèce et de ceux importés – qui souvent coûtent moins chers que ceux qui sont importés (exemple des pommes de terre) .

En ce qui concerne les exportations, les principaux pays de destination sont la Republique Tchèque, la Lettonie, la Lituanie, la Pologne et la Slovaquie. La hausse des coûts de productions et les naturalisations illégales ont entraînées une baisse des exportations ce qui rend les produits d’exploitations non durables dans plusieurs régions.

Le défi est de stabiliser le prix (qui a chuté de 35 à 40%). Un autre facteur négatif des produits nationaux est l’absence d’un organisme unique. Dans le cas des pommes de terre, il n y a pas un équivalent d’organisme reconnu, ce qui rend le fait de défendre les intérêts des producteurs ou d’agir collectivement, plus difficile.

Crédit photo:DR

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Oléagineux: Production de Colza et de Tournesol en forte hausse au Maroc

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La filière oléagineuse du Maroc enregistre des résultats excellents.

Oléagineux – Depuis 2012, la filière oléagineuse du Maroc enregistre une évolution moyenne annuelle de la productivité de 57 %. C’est lors de la 11e édition du SIAM, qui s’est achevée à Meknès le 1er mai 2016, que cette information a été révélé par la Fédération interprofessionnelle des oléagineux (FOLEA).

Ces résultats qui sont excellents et très encourageants sont essentiellement dus au succès du contrat-programme de relance de la filière, signé en 2013 par la Fédération avec l’État. « Depuis la signature du contrat-programme il y a tout juste trois ans, nous avons réussi à multiplier la production d’oléagineux au Maroc par près de dix. Notre objectif ultime est d’élargir le taux de couverture des besoins du pays en huiles, d’augmenter le revenu des agriculteurs et réduire les importations d’huiles raffinées et de tourteaux, avec ce que cela implique comme impact sur la balance commerciale du royaume», a déclaré le Directeur Général de Lesieur Cristal et Président de la FOLEA, Samir Oudghiri Idrissi.

Aziz Akhannouch, ministre de l’Agriculture et de la Pêche Maritime, a déclaré que la collecte de tournesol et de colza est passée de 2 800 tonnes, en 2012, à plus de 22 000 tonnes en 2015.

L’optimisme est de rigueur et il cette tendance à la hausse devrait se consolider. En effet, d’ici la fin de l’année 2016, la FOLEA mise sur une récolte avoisinant les 45 000 tonnes, en raison des faibles pluies actuelles. Cette faiblesse de la pluviosité devrait inciter beaucoup d’agriculteurs ayant perdu leurs cultures céréalières à se tourner vers la culture du tournesol qui est une culture du printemps.

A l’horizon 2020, les acteurs de la filière se fixent désormais pour objectif une moyenne de 18 q/ha pour le tournesol et 20 q/ha pour le colza. Des volumes de récoltes qui risquent d’atteindre les 150 000 tonnes de graines de tournesol et 82 000 tonnes de graines de colza. Soit, une production totale de 95 000 tonnes d’huile brute, représentant 20% de la consommation nationale.

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Blé tendre : Prix de référence fixé à 270 dh/quintal

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Campagne de commercialisation du blé tendre de 2016, le prix de référence fixé à 270 dh/quintal.

Le ministère de l’agriculture et de la pêche maritime, Aziz Akhannouch,  a annoncé le 14 Juin le prix de référence pour la commercialisation du blé tendre pour la campagne agricole 2015-2016 qui est fixé à 270 dhs/quintal. La prime de magasinage est maintenue à  2 dh/ql par quinzaine.

Les conditions climatiques de la campagne agricole 2015-2016 ont été généralement défavorables pour la production céréalière dans plusieurs régions. Dans ce cadre, le gouvernement a annoncé un prix référentiel de 270 dh/quintal, rendu moulin, pour une qualité standard dans l’objectif de la valorisation de la production nationale et l’amélioration des conditions des petits agriculteurs.

Durant la récolte nationale de 2016, la prime de magasinage est maintenue à 2 dh/ql par quinzaine sur les achats de blé tendre déclarés par les organismes stockeurs et les coopératives. Les droits d’importation du blé tendre seront relevés de 65% à partir du 15 juin au 15 août 2016.

Le relèvement du taux devrait en effet protéger la production céréalière nationale dans un contexte de baisse des prix du blé sur le marché international et favoriser de la même façon une collecte de la production nationale dans les meilleures conditions.

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Le Maroc est le 22e pays exportateur mondial de laitues

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En 2015, l’Espagne est le pays qui a exporté le plus de laitues à l’échelle mondiale. 

Selon les données de la Division des Statistiques des Nations-Unies (ONU), l’Espagne est le pays qui a exporté le plus de laitues dans le monde en 2015. Par ailleurs, l’Espagne a exporté 38% de la part totale des exportations de laitues dans le monde.

Quantité

En 2015, les exportations mondiales de laitues s’élevaient à 2 milliards de kilos. 796 millions de kilos de laitues ont été exportés par l’Espagne, 156 millions de kilos par les Etats-Unis et 341 millions de kilos par le Mexique.

L’Italie est quatrième avec 123 millions de kilos de laitues exportés, suivi par les Pays-Bas avec 115 millions de kilos, la Chine avec 91 millions de kilos, la Belgique avec 61 millions de kilos, la France avec 52 millions de kilos, l’Allemagne avec 46 millions de kilos, et la Jordanie, dixième dans le classement, avec 44 millions de kilos. Le Maroc est vingt-deuxième avec 6 millions de kilos et la Turquie vingt-cinquième avec 890.000 kilos de laitues.

L’Espagne a exporté 38% de la part totale des exportations de laitues dans le monde. Les Etats-Unis ont quant à eux exportés 16% de la part totale.

Recettes

L’Espagne est aussi le pays qui a le plus gagné dans l’export de laitues en 2015. Avec un total de 694 millions d’euros tandis que le total des exportations de laitues dans le monde est de 2 milliards d’euros (22 milliards de DH).

L’Espagne est suivi par les Etats-Unis avec 484 millions d’euros (5 milliards de DH). L’Italie est troisième avec 195 millions d’euros (2 milliards de DH), suivi par les Pays-Bas avec 147 millions d’euros (1,6 milliards de DH), le Mexique avec 125 millions d’euros (1,3 milliards de DH), la Belgique avec 81 millions d’euros (891 millions de DH), la France avec 67 millions d’euros (737 millions de DH), l’Allemagne avec 44 millions d’euros (484 millions de DH), la Chine et le Canada avec 42 millions d’euros (462 millions de DH).

Prix

En 2015, l’Italie est le pays qui a obtenu le meilleur prix : 1,58 Euro/kg (17,39 DH/kg). Suivi par les Etats-Unis avec un prix moyen de 1,42 Euro/kg (15,63 DH/kg), les Pays-Bas avec 1,28 Euro/kg (14,09 DH/kg), l’Espagne 0,87 Euro/kg (9,58 DH/kg) et le Mexique avec 0,80 Euro/kg (8,80 DH/kg).

Destinations

L’Espagne a exporté 195 millions de kilos de laitues en Allemagne, 138 millions de kilos en France, 120 millions de kilos au Royaume-Uni, 75 millions de kilos aux Pays-Bas et 68 millions de kilos en Italie.

Les Etats-Unis ont exportés 283 millions de kilos de laitues au Canada, 22 millions de kilos à Taipei et 17 millions de kilos au Mexique.

Tandis que le Mexique a exporté presque l’ensemble de ses laitues aux Etats-Unis, soit 154 millions de kilos.

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Une découverte permet de contrôler le ramollissement des tomates

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Une découverte scientifique permettrait de contrôler le ramollissement des tomates. 

Une étude scientifique financée par BBSRC et Syngenta Seeds, permettrait d’améliorer le goût des tomates avec une durée de vie plus longue.

Certains scientifiques ont identifié un gène, le gène pectinase, jouant un rôle déterminant dans le contrôle du ramollissement des tomates. Lors de ces deux dernières décennies, savoir comment la tomate démonte ses parois cellulaires et s’adoucit pendant la maturation a suscité de nombreuses recherches.

Si ce gène est désactivé, le fruit ramolli beaucoup plus lentement. Cependant, le fruit montre des changements normaux relatifs à la couleur et à l’accumulation de composés de goût tels que les acides, les sucres et les arômes volatiles. Cette découverte peut fournir un moyen pour perfectionner le contrôle de ramollissement des fruits dans les cultures de tomates.

Certains experts estiment que cette découverte présente un réel intérêt dans le développement de nouvelles variétés de tomates et constitue une étape importante dans la compréhension des processus de développement des fruits, ce qui permet un contrôle plus maîtrisé dans l’amélioration des plantes.

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Santé: Les nombreuses vertus du Miel

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Santé: Les puissants bienfaits du miel.

Le miel est une substance sucrée, fabriquée par les abeilles à partir du nectar des fleurs. Cette substance est composée à plus de 80% de glucides. En plus d’être délicieux, le miel comporte de multiples bienfaits et vertus pour la santé. Focus.

Un édulcorant naturel: Le miel est l’édulcorant le plus naturel. Vous pouvez remplacer le sucre par du miel (par exemple, dans votre thé) ou le substituer dans la cuisson. Attention, le miel est est très sucré, mieux vaut ne pas en abuser!

Renforce le système immunitaire: Le miel contient des antioxydants. Ces antioxydants protégent votre système immunitaire et font disparaître des maux comme le rhume et la grippe.

Apaise le mal de gorge: Le miel est un antitussif efficace. En cas de mal de gorge, souvent signe de  toux ou de rhume, cet aliment constitue un lubrifiant idéal pour la gorge.

Combat l’insomnie: Le miel est un hydrate de carbone de digestion des graisses. Il stimule donc la libération d’insuline. Cette action stimule le tryptophane (un composé qui nous rend somnolents). Conseil: Si vous avez des problèmes à vous endormir, prenez un verre de lait chaud avec du miel avant de vous coucher. La chaleur dégagée par le lait chaud augmente l’effet du tryptophane.

Améliore les performances athlétiques: Une cuillerée de miel permettrait de faire un regain d’énergie. Le miel est l’un des hydrates de carbone les plus efficaces avant une séance d’entraînement, car il est facilement digéré et est libéré dans le métabolisme à un rythme régulier.

Permet de guérir les coupures et les brûlures: Les propriétés antibactériennes et antifongiques du miel permettent de réduire la croissance bactérienne. Conseil: Si vous vous coupez, vous éraflez ou vous brûlez légèrement, mettez un peu de miel sur la blessure afin de prévenir l’infection. Pensez à recouvrir la blessure d’un pansement. Et, appliquez une pommade au miel pour soulager les démangeaisons cutanées.

Hydrate la peau et les cheveux: Le miel est utilisé en masques, car il permet d’absorber et de retenir l’eau. Conseil: Mélangez du miel avec de l’huile d’olive pour obtenir un shampooing naturel ou essayez-le en masque hydratant et en traitement pour les lèvres.

Attention: Malgré ses nombreux bienfaits, ne pas oublier que le miel est très sucré: brossez-vous les dents après en avoir consommé afin d’éviter le risque de caries. Et n’en abusez pas trop pour votre ligne et votre santé.

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Réchauffement climatique: Le café en voie d’extinction ?

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Le café risque-t-il réellement de disparaître à cause du réchauffement climatique ?

Chaque jour, deux personnes sur trois consomment du café dans le Monde. La consommation de café est ancrée dans n’importe quelle culture. Pour certaines personnes, boire du café est devenue une habitude et pour d’autres une nécessité. Difficile d’imaginer un monde sans ce breuvage chaud. Cependant, selon le Climate Institute, à cause de la hausse des températures, la production de café pourrait bien disparaître. Pouvez-vous imaginez un monde sans une petite tasse de café, sans petit expresso, sans ness-ness ou bien sans capuccino ? 

La hausse des températures et la multiplication de phénomènes météorologiques extrêmes pourrait engendrer l’extinction de la production des graines de café. Le café est une plante exigeante et délicate qui ne peut pousser que dans certaines conditions. Si la plante reçoit trop  de chaleur, trop de pluie et/ou trop de sécheresse, les cultures peuvent rapidement périr.

Le café, en plus d’être une denrée essentielle, représente le métier d’environs 120 millions de personnes dans 70 pays. Si il y a extinction de la production de café, ces personnes risquent se retrouver du jour au lendemain sans aucun revenu. Pour la plupart, ces personnes ont des conditions de vie difficiles et leur travail est très pénible.

Les conséquences du réchauffement climatique sur la production de café

Le Nicaragua pourrait perdre la majorité de ses plantations d’ici 2050.

La Tanzanie, quant à elle, pourrait perdre la majorité de ses plantations en 2060. Environs 2,4 millions de personnes vivent grâce à la production de café. En Tanzanie, à chaque fois que la température augmente d’un degré, la production baisse de 137 kilos.

Le Guatemala a perdu 85% de ses cultures de café. Suite à ces pertes, près de 350.000 personnes se sont retrouvées sans emploi.

L’Amérique Centrale a été touchée par la rouille du caféier. La rouille du caféier est une maladie fongique qui affecte les caféiers. Cette maladie est causée par des champignons basidiomycètes. Elle est répandue dans toutes les régions caféicoles du Monde. Cette maladie affecte d’abord les feuilles et est favorisée par l’humidité et une température optimum comprise entre 22 et 24°C. C’est l’une des plus graves maladies susceptibles d’affecter les caféiers. Elle peut entraîner des pertes de rendement et des baisses de qualité du produit, avec des conséquences économiques graves dans les pays concernés.

Le café “sauvage” risque de ne plus exister en 2080. À titre d’informations, le café « sauvage » est essentiel en termes de diversité génétique du café cultivé.

Quelle(s) solution(s) ? 

Afin d’éviter ce scénario, acheter des produits du commerce équitable serait bénéfique car ce sont les produits qui ont le moins d’impact possible sur l’environnement. Faire quotidiennement en sorte de réduire le réchauffement climatique par des petits gestes simples.

Cependant, sans actions fortes pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, le changement climatique pourrait engendrer une réduction des lieux de plantations de café de 50% d’ici 2050.

Agissons …

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OCP céréales et légumineuses à Béni Mellal – Khénifra

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La campagne OCP céréales et légumineuses fait escale dans la région de Béni Mellal – Khénifra.

Alors que l’Office Chérifien des Phosphates (OCP) réalise sa cinquième campagne des céréales et légumineuses, cette dernière a rejoint la commune rurale de Kamoun située au cerle de Kasba Tadla.

OCP céréales et légumineuses à Béni Mellal - KhénifraLa campagne OCP céréales et légumineuses a pour objectif de sensibiliser les agriculteurs marocains et en l’occurrence ceux de la région Béni Mellal – Khénifra à trouver les moyens pour améliorer les rendements de leurs cultures.

Ainsi, l’OCP qui est très active à l’international et tout particulièrement en Afrique, avec la création d’une usine d’engrais en Ethiopie ou le développement de la filière du Cacao en Côte d’Ivoire, n’en oublie pas moins d’accompagner l’agriculture marocaine avec un service de proximité.

Cette caravane OCP de deux jours, qui a d’abord fait escale auprès des agriculteurs de Khouribga, Fkih Ben Salah et Béni Mellal continue donc son chemin afin d’apporter aux agriculteurs, les informations utiles sur la nature des sols pour améliorer leurs rendements ou l’utilisation raisonnable d’engrais.

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Souss-Massa: La production de courgettes est menacée

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Un virus menace la production de courgettes dans la région du Souss-Massa. 

Dans la région du Souss-Massa, la production de courgettes de plein champ est en train de se décimer. Les courgettes de la région citée ont été attaquées par le TolCNDV (ou Virus New Delhi). Il semblerait que l’unique moyen de s’en débarrasser soit d’arracher les plantes infestées et de les incinérer. Focus sur ce virus dévastateur. 

Aujourd’hui, ce sont près de 2.000 hectares de courgettes qui seraient menacés dans la région du Souss-Massa. Si l’on devait évaluer les pertes, elles seraient énormes. Mais les agriculteurs restent optimistes selon « l’économiste » et souhaitent se débarrasser le plus rapidement possible de ce virus, ils respectent ainsi les méthodes de lutte conseillées.

Mais qu’est-ce que le TolCNDV ? 

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Le TolCNDV qui est une nouvelle virose affectant gravement la courgette, a été identifiée et caractérisée en Espagne en 2013, dans des cultures de plein champ et sous abris peu protégés situés dans les régions d’Almeria et de Murcie. Celle-ci est occasionnée par un géminivirus proche du Tomato yellow leaf curl virus (TYLCV).

Les symptômes associés à cette virose se manifestent surtout sur les jeunes feuilles qui s’enroulent, se recroquevillent et restent de petite taille. Le limbe présente un jaunissement internervaire plus ou moins intense. Les fruits peuvent aussi être affectés, montrant un gaufrage de l’épiderme s’intensifiant au fur et à mesure de leur croissance. La croissance des plantes peut être fortement ralentie, voire complètement bloquée.

Cette maladie a été identifiée sur des cultures de courgettes, concombres, melon et poivrons et récemment sur des tomates. Sur courgettes, les plants sont rabougris, chlorotiques. Les feuilles sont déformées, enroulées et présentent des mosaïques plus ou moins marquées. Les fruits sont bosselés. Sur concombre, les feuilles présentent des décolorations avec ou sans gaufrures. Les fruits sont peu marqués.

Sur melon ou sur pastèque, les feuilles présentent des mosaïques marquées, des entre-nœuds courts et des nervures saillantes tandis que les fruits sont fendus et craquelés. Sur poivron, on observe des mosaïques sévères. Sur tomate, les feuilles présentent une chlorose légère avec une déformation des feuilles moyennes et apicales.

Il est important de préciser que les courgettes qui sont touchées par ce virus sont pour la plupart destinées à l’export. Ces courgettes ont donc un coût de production qui est élevé et la situation peut s’avérer délicate pour quelques producteurs.

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ائدة مستديرة حول قطاع الحوامض بجهة سوس ماسة

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.ائدة مستديرة حول قطاع الحوامض بجهة سوس ماسة

يشكل قطاع الحوامض بالجهة دعامة اساسية للإنتاج الفلاحي . و يتجلى ذلك في المساحات الهامة التي تشغلها هذه الزراعة و التي تصل إلى 39.800 هكتار، بإنتاج يقارب 600.000 طن يصدر منه جزء هام منه نحو الأسواق الخارجية. يساهم هذا القطاع بشكل كبير في توفير مناصب الشغل بمختلف حلقات سلسلة الانتاج من انتاج و تلفيف و تسويق. اضافة الى مساهمته كذلك في تنويع الصادرات الفلاحية

فرغم المجهودات المبذولة من طرف الدولة من خلال مخطط المغرب الأخضر إلا انه في السنوات الأخيرة عرف القطاع مجموعة من التذبذات تجلت في الظروف المناخية التي أثرت بشكل سلبي على الانتاج اضافة إلى مشاكل التسويق التي اصبحت تقض مضجع المنتجين خاصة في مثل الموسم الحالي الذي يتميز بوفرة الانتاج. فلا السوق الدولية و لا الداخلية تستجيب لانتظارات المنتجين الذين اصبحوا في وضعية صعبة إزاء العمال و المؤسسات البنكية و الموردين بالمدخلات الفلاحية

أمام هذه الوضعية، و باعتبارها ممثلا للفلاحين و للقطاع الفلاحي، بادرت الغرفة الفلاحية لجهة سوس ماسة إلى تنظيم مائدة مستديرة من أجل تبادل الأفكار و النقاش حول السبل الممكنة لإخراج القطاع و المنتجين من الوضعية الحالية

و قد حضر هذا اللقاء مجموعة من المنتجين بمختلف أحجام مستغلاتهم، و كذا أصحاب محطات التلفيف. و قد تمت دعوة كذلك رؤساء المصالح الخارجية و الذين لهم صلة بقطاع الحوامض سواء في عالية السلسلة أو سافلتها

تطرق برنامج هذه المائدة المستديرة إلى مجموعة من النقط أولها تقديم الوضعية الحالية للقطاع و الحالة المقلقة التي أصبح يتخبط فيها، بالإضافة إلى تقديم شريطين أولهما يتطرق إلى إشكاليات القطاع خلال الموسم الماضي (2015-2016) و الثاني إلى وضعية القطاع خلال الموسم الحالي (2016-2017). و من تجليات أزمة القطاع المشاكل التي يتخبط فيها الفلاحون في التسويق، إذ في الوقت الراهن يباع الكيلو كرام الواحد من الحوامض من طرف الفلاح بما يقرب 15 إلى 20 سنتيما بينما المستهلك يقتنيه بسعر يتراوح بين 3 إلى 4 دراهم للكيلوكرام. مما دفع بعض الفلاحين إلى ترك المحصول في الشجرة بنسبة 30 إلى 40 % من الكمية الكلية للمحصول أي ما يقارب 140.000 طن

و قد تم فتح النقاش و باب التدخل للحاضرين من أجل الإدلاء بآرائهم و التعبير بشكل صريح عن الوضعية من أجل البحث عن الحلول الناجعة لذلك. و قد جاءت تدخلات الحاضرين لتتطرق إلى نقط عدة ك
ضرورة إقامة أرضية للتسويق –
أهمية إنشاء وحدات للتحويل (عصائر ) ذات سعة متوسطة لتنويع إمكانيات استغلال المحصول –
تنظيم السوق الداخلي و تقنينه بصفة مستعجلة حتى يتم وقف النزيف الذي يستفيد منه الوسطاء على حساب المنتجين و المستهلكين على حد سواء –
و سيتم رفع هذه التوصيات إلى وزارة الفلاحة و الصيد البحري التي تعتبر الوصي الأول على القطاع –

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Le Maroc va importer 1 million de T de blé en 2017

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La mauvaise récolte, nécessite l’importation de plus de 1 million de T de blé en 2017 en provenance de  l’UE et des USA.

L’Office National Interprofessionnel des Céréales et Légumineuses (ONICL), a lancé un appel d’offres relatif à l’importation de plus d’un million de tonnes de blé en 2017. En provenance de l’Union Européenne (UE) et des Etats-Unis, dans le cadre des contingents tarifaires préférentiels.

Un contingent de 363.636 tonnes de blé tendre sera importé de l’Union Européenne (UE) d’ici fin avril 2017. Un deuxième contingent avec la même quantité de blé tendre à acheter des Etats-Unis au plus tard le 30 avril, en plus des 327.273 tonnes de blé dur pour fin décembre 2017.

L’année 2016 a été marquée par des récoltes mondiales historiques de céréales, à cause des prix du blé tombés à des niveaux très bas, déstabilisant les agriculteurs des deux côtés de l’Atlantique, qui risquent encore de souffrir en 2017. L’information est révélée par le Matin, dans son édition du 29 décembre. Le journal explique ainsi, qu’avec une récolte de blé énorme, évaluée cette année à 751 millions de tonnes dans le monde, les cours ont chuté à leur plus bas niveau depuis 2006 sur le marché de Chicago, baromètre mondial des prix, à quelque 145 dollars la tonne.

Le Matin rappelle que le secteur du blé est en crise en France et aux Etats-Unis, où leurs revenus ont chuté de 15% par rapport à l’année précédente et de 30% par rapport à 2014, selon le Ministère Américain de l’Agriculture (USDA).

« Nous avons connu plusieurs grosses récoltes d’affilée, et même si la consommation a augmenté, les stocks sont montés et les prix ont baissé», révèle John Newton, directeur stratégie et marché du lobby des agriculteurs américains, l’American Farm Bureau Federation, dans une déclaration à l’Agence France Presse (AFP).

À noter, que les stocks mondiaux de blé ont grimpé de 217 millions de tonnes en 2015, à 240 millions à la fin de la campagne 2016, et pourraient atteindre 252 millions l’année prochaine, selon le Ministère Américain de l’Agriculture (USDA).

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La crise du secteur des légumineuses au Maroc

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Le Maroc est passé du statut d’exportateur important sur le marché mondial à un simple importateur de légumineuses.

Le Maroc a perdu sa place de deuxième exportateur mondial de légumineuse à cause des années de sécheresse et de la forte concurrence d’autres pays comme le Canada, le Mexique et la Turquie. Aujourd’hui le Maroc importe chaque année environ 290 000 quintaux de légumineuses, principalement les lentilles. Ainsi, son chiffre d’affaire a baissé de plus de 70%.

Au Maroc, la superficie dédiée à la culture des légumineuses ne représente que 6% de la superficie agricole (400 000 ha). Les zones de culture sont principalement dans les régions du Saïss, du Rif, du Gharb et de la Chaouia.

Aujourd’hui, certains importateurs au Maroc ont arrêté leur activité à cause de la forte crise que connait le secteur, le taux de douane très élevé ainsi que la contrebande, d’après l’Economiste.

L’État doit mettre en place des droits de douane qui permettent la protection de la production nationale des légumineuses, sans lutter définitivement contre la contrebande. En effet, les prix sur le marché sont déterminés en fonction de l’offre et de la demande et demeurent influencés par le niveau de production et les prix des légumineuses importées. Les professionnels du secteur réclament que les légumineuses alimentaires doivent  retrouver leur place dans les systèmes de culture, étant donné que le Maroc a le potentiel et le savoir-faire pour produire et exporter plus de légumineuses alimentaires.

Reste à rappeler qu’un plan a été mis en place par l’Etat, doté d’une enveloppe de 64 millions de dirhams. Celui-ci devait garantir, en 2016, une croissance de 20% de la production des légumineuses, la création de 100 entreprises et 2 500 emplois, ainsi que l’augmentation de 10% de la consommation des légumineuses. Surtout que cette culture équilibre le régime alimentaire de l’individu et garantie une opportunité d’emploi pour la main-d’œuvre agricole.

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Un nouveau type de rouille du blé menace le Maroc

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De nouvelles maladies du blé découvertes au Maroc, en Europe et en Asie Centrale.

D’après une étude réalisée par l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), deux nouvelles maladies fongiques sont capables de détruire des récoltes entières du blé surtout en méditerranée. Il s’agit d’une rouille noire «TTTTF », et d’une rouille jaune qui n’a pas de nom pour l’instant.

« Nous devons agir rapidement et appréhender le problème de manière intégrale », a signalé dans un communiqué Fazil Dusuncelli, phytopathologiste à l’Organisation des Nations Unies pour l’Agriculture et l’Alimentation (FAO).

La rouille du blé se propage très rapidement, en traversant de grandes distances, à cause du vent. Si elle n’est pas détectée rapidement, elle peut transformer des cultures saines en amas de feuilles jaunes, de tiges noires et de grains aplatis.

«Ces nouvelles races de rouille, agressives, sont apparues au moment même où nous sommes en train de travailler avec des partenaires internationaux en vue d’aider les pays à combattre les formes déjà existantes. Nous devons donc agir rapidement et appréhender le problème de manière intégrale», a-t-il ajouté. «Il n’a jamais été aussi primordial pour les spécialistes des instituts internationaux et des pays producteurs de blé de travailler ensemble afin de stopper la progression de ces maladies. Cela implique une surveillance continue, le partage des données et le renforcement des plans d’intervention d’urgence destinés à protéger leurs agriculteurs et ceux des pays voisins», affirme le phytopathologiste.

Le Maroc fait partie des pays les plus touchés par ces maladies, il a été témoin de l’apparition d’un nouveau type de rouille qui ne porte pas de nom jusqu’à présent. Celui-ci est lié à une famille de souches agressives et mieux adaptées aux températures élevées que les autres.

Rappelons que le blé est la base de l’alimentation pour plus d’un milliard de personnes à travers le monde.  Les pays menacés par les maladies de la rouille, représentent, près de 37% de la production mondiale de blé. A savoir les pays du moyen orient, du Maghreb, de l’Afrique de l’Est et de l’Asie.

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Souss-Massa : Un consultant pour former au cactus et à l’apiculture

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Un projet d’encadrement des agriculteurs dans le Souss-Massa pour la valorisation du cactus et des produits de l’apiculture.

Le département de l’Agriculture de la région du Souss-Massa compte recruter, début mars prochain, un consultant afin de former les agriculteurs de la région, à la valorisation du cactus et des produits de l’apiculture.

D’après le ministère de l’agriculture, l’encadrement portera essentiellement sur la conduite technique et l’importance économique du cactus, sur la valorisation du cactus, sur ses débouchés agro-industriels ainsi que sur les bonnes pratiques de production des fruits de cactus.

Pour l’apiculture, l’encadrement portera sur la conduite technique moderne d’un rucher, sur la diversification, sur la valorisation des produits de la ruche, sur les bonnes pratiques de production et sur l’extraction du miel. L’encadrement concernera également le cadre juridique, administratif et la gestion managériale des coopératives agricoles.

Cette stratégie a pour objectif d’aider les agriculteurs de la région, surtout ceux des régions montagnardes et oasiennes, à accéder à l’économie marchande dans les meilleurs délais et dans les meilleures conditions, en créant une forte valeur ajoutée tout en assurant une bonne gestion des ressources naturelles.

En effet, il ne s’agit pas seulement de fournir les moyens financiers nécessaires, mais également d’être susceptible d’animer et d’accompagner cette révolution économique, sociale et culturelle au niveau de la région du Souss-Massa. Il s’agit ainsi de nombreux objectifs fondamentaux, à savoir la valorisation de l’agriculture ainsi que toutes les ressources pastorales et végétales de l’espace agraire naturel, la valorisation des atouts des territoires et les possibilités de marché ainsi que la diversification des activités génératrices de revenu.

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Céréales à Taourirt : Hausse de 18% de la production

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Céréales à Taourirt : Le bilan s’annonce bon avec une hausse de 18% de la production.

La superficie cultivée en céréales au niveau de la région de Taourirt, au titre de la campagne agricole 2016-2017 a atteint 96.455 ha, avec une hausse de 18% par rapport à la campagne précédente.

D’après des chiffres présentés par le directeur régional de l’agriculture de l’Oriental, Aziz Bellouti, à l’occasion d’une réunion tenue lundi, « la superficie réservée aux cultures fourragères a pratiquement doublé en atteignant 4.470 ha cette saison, qui a connu également une hausse de 10% des arbres fruitières, en comparaison avec l’année dernière. »

(Avec MAP)

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